samedi 16 décembre 2017

[On a vu] Les Diamants sont éternels (Diamonds are forever, Guy Hamilton, 1971, GB)


Les Diamants sont éternels
Titre original : Diamonds are forever
Réalisateur : Guy Hamilton
Année : 1971
Genre : Action/Aventure/Thriller
Avec Sean Connery, Jill St. John, Charles Gray...
Scénario : Richard Maibaum et Tom Mankiewicz
D'après le roman d'Ian Fleming
Producteur : Albert R. Broccoli et Harry Saltzman
Producteur associé : Stanley Sopel
Studio : Eon Productions
Musique : John Barry
Lumière : Ted Moore
Montage : Bert Bates et John W. Holmes
Origine : GB
Durée : 1h41


Le Pitch : James Bond se lance à la recherche d'un trafiquant de diamants, à Amsterdam, et se retrouve face au terrifiant Blofeld. Ce dernier est en passe de finir la construction d'un gigantesque laser d'une puissance terrifiante, à l'aide de tous les diamants qu'il a rassemblés, pour détruire Washington.


L'Avis : Septième opus des James Bond "officiel", sixième avec Sean Connery. Après les scores décevant d'Au service secret de sa majesté avec Georges Lazenby dans le rôle de Bond, il est expressément demandé à Sean Connery de revenir dans le rôle. (Dommage d'ailleurs, Lazenby n'étant pas si mauvais). (Note : enfin, selon certaines sources, c'est Lazenby qui ne voulait pas revenir...)
C'est tout de même l'un des rares de cette période où un soupçon de continuité se lance entrevoir. Le mariage et la mort de sa femme issu d'Au Service secret de sa majesté sont mentionnés.
Nous avons affaire ici à un Bond qui cherche pendant une grande part du film à se venger de la mort de sa femme, ce qui est presque inédit pour un personnage qui avais jusqu'ici toujours été un peu débonnaire. (Cela sera rapproché du Bond de Timothy Dalton dans Permis de tuer).
Sinon, il y a des grands élans féministes dans ce film (humour). Les filles sont icis de la chair à canon, Voyez les deux gardiennes d'un puissant magnat.
A noter, que la touche comique est apporté par 2 tueurs à gages.

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