lundi 6 août 2018

[Kill the kult : 100] Film 1 : Warlock : The Armageddon



Warlock : The Armageddon
Réalisateur : Anthony Hickox
Année : 1993
Genre: Action/Fantastique/Horreur
Scénario : Kevin Rock et Sam Bernard
D'après une histoire de Kevin Rock
D'après des personnages de David Twohy
Avec Julian Sands, Chris Young, Paula Marshall, Joanna Pacula, Steve Kahan, R.G. Armstrong, Charles Hallahan, Bruce Glover, Craig Hurley, Davis Gaines, Rebecca Street, Dawn Ann Billings, Zach Galligan, Wren T. Brown, Gary Carlos Cervantes....
Producteur : Peter Abrams et Robert L. Levy
Co-producteur : Nathan Zahavi
Producteur associé : Sam Bernard
Producteur executif : Roger A. Burlace
Studios : Trimark pictures et Tapestry Films
Musique : Mark McKenzie
Lumière : Gerry Lively
Montage : Christopher Cibelli et James D.R. Hickox
Origine : USA
Durée : 98min


L'Histoire : Une compagnie de druide entraîne leurs enfants afin de combattre un sorcier (Warlock) qui cherche à rassembler 6 pierres mystiques pour ramener son père (Satan) sur Terre.

Toute ressemblance avec une vidéo XXX est fortuite.
Tout de suite, oublions Warlock premier du nom. Car si, ce film reprend le même acteur ainsi que le même personnage, le studio décida que trop de personnes avais vu l'original pour en faire une suite digne de ce nom (et disons le clairement scénaristiquement cela aurais été compliqué au vu du final de ce premier opus.)

Félicitation madame, c'est un garçon.
Alors que dire de ce pur produit de vidéoclub? Bah étonnamment pas mal de bien. Car si le film est surtout porté par son méchant en titre (joué par un Julian Sands habité par son rôle... c'est simple avant il jouait dans le Festin nu, après il finira dans Le médaillon avec Jackie Chan...). Face à lui... pas grand chose. En tout cas, pas grand chose à se mettre sous la dent, tant le jeu d'acteur est approximatif. Mais on s'en fout, nous sommes là pour voir les exactions de Sands, en espérant presque que pour une fois, il arrive à ces fins. Las, je ne vous gâche pas que la fin.

Il a changé Superman.

A noter pour les fines bouches, un troisième volet à vu le jour sans Julian Sands (mais avec Bruce Payne à la place), troisième volet à la qualité plus que discutable (d'ailleurs, la discussion est vite faite.)