samedi 1 décembre 2018

[Instant coquin] Les Petites filles modèles



Les Petites filles modèles (Jean-Claude Roy, 1971, France)
Avec Jessica Dorn, Marie-Georges Pascal, Cathy Reghin...

 
Soyons fou. Pour parler un peu film pour adulte, nous allons commencer soft. Les Petites filles modèles, d'après très vaguement la Comtesse de Ségur.
C'est un peu la suite du roman original ou les filles ont maintenant bien grandit. Elles et leurs mères sont à la recherche de l'amour avec un beau Q.
Les filles, très vites attirés par les propos de leurs mères sur les brigands dans les bois vont attirer dans leurs filets un jeune benêt, pendant que la Comtesse enregistre des vidéos d'éducation sexuelle.
Nous sommes dans du gentillet, ça parle pas mal et ça tacle un peu la bourgeoisie (comme dans beaucoup de films de Jean-Claude Roy d'ailleurs, mais nous y reviendrons peut-être un jour.)
La scène d'anthologie : une séquence de dîner, où la caricature d'un homme de gauche, décide de reprendre du homard... je n'en dis pas plus. Je vous conseille de regarder ce film.



Vu sur FilmoTV : https://www.filmotv.fr/film/les-petites-filles-modeles/2425.html
Existe en DVD édité par Zylo en 2008 (hors de prix aujourd'hui)
Existe en DVD import anglais par Odéon  en 2014 (titre : Good little girls)

[EVENT] Kill the Kult #106 : Ré-animation


Oyé amis du Kult,
Entre deux petites pauses (pas de KTK le 04/12 nous serons au PIFFF 2018 du 4 au 9 décembre au Max Linder Panorama et pas non plus le 01/01/2019... on doute d'être en état.). On a décidé d'en faire bon gros KTK dessin-animé des familles.
Parce que c'est décembre, Noël approche et je ne peux pas tout le temps montrer des horreurs à ma fille. (même si il y en aura... vous pouvez compter sur moi.)

Donc un KTK pour tous mardi prochain.

Comme d'habitude, une bouteille de champagne pour les vainqueurs, des shots pour les deuxième, de l'humour et de la bonne ambiance comme on aime.

On a hâte de vous voir pour ce dernier KTK de l'année 2018.
Kultement votre,
Matthieu


 Octopussy Paris
22 rue de la Jonquière
75017 PARIS
Métro : Guy Moquet

lundi 6 août 2018

[Kill the kult : 100] Film 1 : Warlock : The Armageddon



Warlock : The Armageddon
Réalisateur : Anthony Hickox
Année : 1993
Genre: Action/Fantastique/Horreur
Scénario : Kevin Rock et Sam Bernard
D'après une histoire de Kevin Rock
D'après des personnages de David Twohy
Avec Julian Sands, Chris Young, Paula Marshall, Joanna Pacula, Steve Kahan, R.G. Armstrong, Charles Hallahan, Bruce Glover, Craig Hurley, Davis Gaines, Rebecca Street, Dawn Ann Billings, Zach Galligan, Wren T. Brown, Gary Carlos Cervantes....
Producteur : Peter Abrams et Robert L. Levy
Co-producteur : Nathan Zahavi
Producteur associé : Sam Bernard
Producteur executif : Roger A. Burlace
Studios : Trimark pictures et Tapestry Films
Musique : Mark McKenzie
Lumière : Gerry Lively
Montage : Christopher Cibelli et James D.R. Hickox
Origine : USA
Durée : 98min


L'Histoire : Une compagnie de druide entraîne leurs enfants afin de combattre un sorcier (Warlock) qui cherche à rassembler 6 pierres mystiques pour ramener son père (Satan) sur Terre.

Toute ressemblance avec une vidéo XXX est fortuite.
Tout de suite, oublions Warlock premier du nom. Car si, ce film reprend le même acteur ainsi que le même personnage, le studio décida que trop de personnes avais vu l'original pour en faire une suite digne de ce nom (et disons le clairement scénaristiquement cela aurais été compliqué au vu du final de ce premier opus.)

Félicitation madame, c'est un garçon.
Alors que dire de ce pur produit de vidéoclub? Bah étonnamment pas mal de bien. Car si le film est surtout porté par son méchant en titre (joué par un Julian Sands habité par son rôle... c'est simple avant il jouait dans le Festin nu, après il finira dans Le médaillon avec Jackie Chan...). Face à lui... pas grand chose. En tout cas, pas grand chose à se mettre sous la dent, tant le jeu d'acteur est approximatif. Mais on s'en fout, nous sommes là pour voir les exactions de Sands, en espérant presque que pour une fois, il arrive à ces fins. Las, je ne vous gâche pas que la fin.

Il a changé Superman.

A noter pour les fines bouches, un troisième volet à vu le jour sans Julian Sands (mais avec Bruce Payne à la place), troisième volet à la qualité plus que discutable (d'ailleurs, la discussion est vite faite.)

mercredi 7 février 2018

[Event] Kill the Kult : Amour, sports d'hiver et cocaïne (Mardi 13 février 2018 à 20h30)





Oyé amis du Kult,
on se retrouve mardi 13 février avec un thème qui est hautement de saison. En effet, car c'est pendant les jeux olympiques d'hiver qu'aura la St Valentin. (et pour la cocaïne, c'est cadeaux).

Le principe sera la même... 20 extraits de films Kultes, 20 affiches de films pas connus et pif paf pouf une bouteille de champagne pour l'équipe vainqueur.

Le tout bien sûr dans une ambiance chaleureuse, avec les blagues habituelles.. bref une soirée immanquable.

Kultement vôtre,
Matthieu

Des petits changements sur le blog à venir

Oui, car bon, le principe des micro-fiches sur des films ou des albums... Ce n'est pas jouable surtout quand on est seul à gérer. Du coup, refonte du principe mais on reviens prochainement avec quelques choses d'encore mieux.

mardi 30 janvier 2018

[Sur écoute] GWAR - The Blood of Gods (2017)



14. Cela fait maintenant 14 albums que GWAR nous inonde de son trash métal parodique. C'est aussi le premier depuis la mort de son membre fondateur en 2014 Dave Brockie (Oderus Urungus), mort d'une overdose d'héroïne.
Blood of Gods nous conte la croisade de GWAR contre tout ce qu'ils n'aiment pas sur terre. De la politique (El Presidente), la polution (Swarm), la religion (Crushed by the cross) en passant par les fast-food (Death to Dickie Duncan) et aussi et surtout les hommes (selon le groupe, nous ne sommes que des parasites).
Bon, en vrai, le tout n'est pas bien méchant (même si nous ne sommes pas dans la gentillesse de Lordi), le trash metal de GWAR, se rapproche très souvent d'un heavy metal juste un peu plus énervé, pas de quoi en mouiller sa liquette.
Reste un album un peu en dent de scie. La moitié des morceaux étant juste bon, le reste moyen. Mais il se dégage une certaine énergie, là essentiellement pour faire oubliée l'absence d'Oderus Urungus, on se dit qu'on échappe à quelque chose de pire mais on arrive pas à des sommets non plus.




GWAR :
Michael Bishop : Blothar : Chant et basse
Mike Derks : Balsac the Jaws of Death : Guitare et chœurs
Brad Roberts : Jizmak da Gusha : Batterie et percussions
Jamison Land : Beefcake the Mighty : Basse et chœurs
Brent Purgason : Pustulus Maximus : Guitare et chœurs
Bob Gorman : Bonesnapper : Chœurs
Matt Maguire : Sawbord Destructo : Chœurs
Don Drakulich : Chœurs


Tracklist :
1. War on GWAR (7:21)
2. Viking death machine (4:15)
3. El Presidente (4:21)
4. I'll be your monster (3:09)
5. Auroch (4:05)
6. Swarm (4:33)
7. The Sordid soliloquy of Sawborg Destructo (4:07)
8. Death to Dickie Duncan (3:39)
9. Crushed by the cross (3:57)
10. Fuck this place (5:08)
11. Phantom limb (6:10)
12. If you want blood (You got it) (5:05)
Durée : 55min50s
Producteur : Ronan Chris Murphy
Label : Metal Blade Records

[On a vu] Captain America : Civil war (Anthony Russo et Joe Russo, 2016, USA et Allemagne)



Captain America : Civil war
Réalisateurs : Anthony Russo et Joe Russo
Année : 2016
Origine : USA et Allemagne
Avec Chris Evans, Robert Downey Jr., Scarlett Johanson...
Scénario : Christopher Markus et Stephen McFeely
D'après le comic de Joe Simon, Jack Kirby, Mark Millar et Steven McNiven
Producteur : Kevin Feige
Co-producteur : Mitchell Bell, Christoph Fisser, Henning Molfenter et Charlie Woebcken
Producteur executif : Victoria Alonso, Louis D'Esposito, Stan Lee, Nate Moore et Patricia Whitcher
Producteur associé : Ari Costa, Trinh Tran et Lars P. Winther
Studios : Marvel Studios, Vita-Ray Dutch Productions, Studio Babelsberg, Deluxe Digital Studios, Marvel Entertainment, Walt Disney Pictures
Musique : Henry Jackman
Lumière : Trent Opaloch
Montage : Jeffrey Ford et Matthew Schmidt
Durée : 2h27




Le Pitch : Steve Rogers est désormais à la tête des Avengers, dont la mission est de protéger l'humanité. À la suite d'une de leurs interventions qui a causé d'importants dégâts collatéraux, le gouvernement décide de mettre en place un organisme de commandement et de supervision.
Cette nouvelle donne provoque une scission au sein de l'équipe : Steve Rogers reste attaché à sa liberté de s'engager sans ingérence gouvernementale, tandis que d'autres se rangent derrière Tony Stark, qui contre toute attente, décide de se soumettre au gouvernement...




L'Avis : Alors qu'est-ce qui distingue ce Captain America 3 d'un Avengers? Tout simplement l'absence d'un des personnages, sinon ils y sont tous. Tous présent pour l'un des films les plus teasé et les plus politiques du Marvel Cinematic Universe.
Et c'est bien dommage qu'au final, personne ne se positionne réellement. Que le consensus domine. D'un côté Steve Rogers épris de liberté, en électron libre (tout en arborant la panoplie du parfait américain selon Hollywood et les Comics), de l'autre Tony Stark, un industriel génial en pleine repentance véritable voyant le chaos s'abattre.
Qui des deux a raison. Tout le monde et personne à la fois. Le duel tant attendu, se finira par un simple pugilat entre les deux protagonistes, la bataille entre les deux camps ne se fera que sur un aéroport vide.
Petite lumière dans ce marasme, la présence d'un nouveau Spider-man qui ramène une certaine dose d'humour très proche des comics. C'est maigre pour un film pour lequel on attendait tellement plus.

lundi 29 janvier 2018

[Sur écoute] Impureza - La Caida de Tonatiuh (2017)



Dans le registre des bizarreries, voici Impureza. Mélange de Death metal et de.... flamenco. Et le pire, c'est que le résultat est vraiment rafraichissant. Composés de 2 français et de 2 espagnols, Impureza, parvient à être clair dans sa violence, les sonorités se mariant étrangement bien. Bon, après sur certains titres l'un prend le pas sur l'autre (faut pas déconner non plus), mais une très bonne découverte.






Impureza :
Lamas : Voix et basse
Lionelito : Guitares
Rafael : Guitare
Guillermo : Batterie


Tracklist :
1. Lamentos de un condenado (3:03)
2. Sangre para los dioses (6:17)
3. Otumba, 1520 (5:25)
4. El Dorado (0:55)
5. Abre-Aquas (En la tormenta de Tialoc) (5:11)
6. Leyenda negra (4:58)
7. Corazon al cielo (Homenaje a Paco de Lucia) (1:29)
8. Camino Hacia Mictlan (3:48)
9. El nuevo reino de los ahorcados (5:04)
10. Ultimo dia del omeyocan (4:19)
11. La caida de Tonatiuh (5:58)
12. La Llegada de los teules (3:43)
Total : 50min10s
Label : Season of myst

[Sur écoute] Soyuz Bear - Black Phlegm (2017)



Noir et ténébreux. Le Black de Soyuz Bear est d'une noirceur abyssale.... ici, l'on se perd dans des riffs puissants qui vous vrille le cerveau. Et ce putain de dernier titre très doom qui vous fait serrer les mâchoires. Clairement, nous sommes en présence d'un excellent album... Dommage que cela soit un peu court. On en reprendrais bien une deuxième dose.






Soyuz Bear :
Yoann : Chant
Bast : Guitare
Val : Basse
Pierrick : Batterie
(merci Bandcamp)


Tracklist :
1. Black Phlegm (4:56)
2. Human vanity (3:33)
3. Dying people (5:49)
4. Scrub (5:45)
5. S.W.T.V.M. (3:16)
6. Swollen (10:22)
Total : 33min41s
Producteur : Jérémie Mazan
Label : Zanji Zaneer Productions

[Sur écoute] Morse - Pathetic mankind (2017)



Deuxième album pour les Montpelliérains de Montpellier... euh de Morse. Et c'est un beau Black métal chaotique qui est perpétré ici pour un album court malgré les 11 pistes. (Et c'est tant mieux... plus cela aurait été trop...)
Une ambiance très noire, violente et poisseuse sur cet album. Même si il y a quelques respirations... Filthy, par exemple, le tout est un coup brutal dans les gencives.
Pour les amateurs.






Tracklist :
1. Corrupted senses (1:57)
2. Lies and greed (1:31)
3. Feeding the ignorance (1:36)
4. Unstoppable fire (3:09)
5. Filthy... (1:52)
6. Black sun (1:45)
7. Pathetic mankind (3:00)
8. The Praise of the empty (3:01)
9.  ...bliss (2:05)
10. Choked (2:50)
11. Sapped by illness (3:10)
Total : 25min56s
Producteur : Amaury Sauvé
Label : Head records

[Sur écoute] Aetherian - The Untamed wilderness (2017)



Premier album d'Aetherian, qui nous viennent de Grèce. Celui-ci est un doux death metal melodic. Avec pas mal de nappes et d'ambiances. Nous sommes sur une vraie découverte. C'est puissant et jamais redondants... Non, vraiment, une excellente surprise. Il y a des titres lent... Wish of autumn twilight, des titres plus rapide Black sails, un break sympa Clouds gathering... bref, de tout. Même si, il manque un je ne sais quoi qui devrait arriver avec le temps.
Le groupe (encore jeune) est à suivre donc.






Aetherian :
Panos Leakos : Basse et chant
Nikos Parotidis : Batterie
Angelos Maniatakos : Guitare
Giorgos Evgeniadis : Guitare


Tracklist :
1. Wish of autumn twilight (7:26)
2. Dark earth (7:16)
3. As the veil fades (5:38)
4. Black sails (7:18)
5. Seeds of deception (5:47)
6. Shade of the sun (6:51)
7. Clouds gathering (2:50)
8. The Rain (5:45)
9. The Path (5:25)
Total : 54min16s
Label : Lifeforce records

samedi 27 janvier 2018

[Sur écoute] Machine Head - Catharsis (2018)

 

Neuvième album des américains de Machine Head... et il faut dire qu'il n'y sont pas allé avec le doigt de la cuillère avec un album roboratif... peut-être trop même. Allant du thrash en passant par le nu... avec carrément du heavy... Robb Flynn et sa bande n'a jamais autant étaiy aussi disparate. Le cheminement de l'album impose un tracé sinueux.... partant fort avec volatile puis parfois calmant l'allure avec des titres comme Bastards (pour parler de Trump).
C'est la principale qualité de cet opus... mais sa durée en est le principale défaut... car nous sommes sur une durée d'une heure et quart. Et ça peux paraître long au bout d'un moment.
Mais c'est une véritable claque, avec des mélodies qui rentrent (et surtout restent) dans la tête. Un album qui restera pendant longtemps pas très loin de ma platine, histoire d'en tirer la substantifique moëlle (et je me réserve le droit de revenir sur cette fiche).


Machine Head :
Robb Flynn : Chant et guitare
Phil Demmel : Guitare et choeurs
Jared MacEachern : Basse et choeurs
Dave McClain : Batterie et percussions

Tracklist :
1. Volatile (4:38)
2. Catharsis (6:10)
3. Beyond the pale (4:30)
4. California bleeding (4:12)
5. Triple beam (4:41)
6. Kaleidoscope (4:13)
7. Bastards (5:04)
8. Hope begets hope (4:30)
9. Screaming at the sun (3:54)
10. Behind a mask (4:07)
11. Heavy lies the crown (8:48)
12. Psychotic (5:01)
13. Grind you down (4:06)
14. Razorblade smile (4:00)
15. Eulogy (6:33)
Total : 1h14min17s
Producteur : Robb Flynn et Zack Ohren
Label : Nuclear Blast

vendredi 26 janvier 2018

[Sur écoute] Vandenberg - Vandenberg (1982)



Après un premier groupe, intitulé "Teaser" (un seul album au compteur... introuvable), Adrian Vandenberg mis sur pied un band. Cela donne... Vandenberg (oui, incroyable).
Bien sûr, la virtuosité du guitariste y fait merveille, surtout qu'il est l'auteur de toutes les compos de l'album.
Nous sommes clairement dans un heavy metal des années 80 qui fleure bon sous les aisselles. Nothing to lose par exemple ne déparerais pas sur un album de glam. Mais c'est du bon année 80... avec des refrains et des rythmes accrocheurs... et qui reste dans la tête... Burning heart (le single de l'album) en est un bon exemple...
Et clairement, un solo comme celui-ci présent sur Lost in a city, cela ne se loupe pas.






Vandenberg :
Bert Heerink : Chant
Adrian Vandenberg : Guitare, Claviers et chœurs
Dick Kemper : Basse, pédaliers et chœurs
Jos Zoomer : Batterie et chœurs


Tracklist :
1. Your love is in vain (4:15)
2. Back on my feet (3:55)
3. Wait (5:11)
4. Burning heart (4:11)
5. Ready for you (3:57)
6. Too late (4:12)
7. Nothing to lose (3:23)
8. Lost in a city (3:58)
9. Out in the Streets (4:07)
Total : 34min22s
Producteur : Vandenberg et Stuart Epps
Label : ATCO et Rhino Atlantic

[On a vu] Ant-man (Peyton Reed, 2015, USA)



Ant-man
Réalisateur : Peyton Reed
Année : 2015
Origine : USA
Avec Paul Rudd, Michael Douglas, Corey Stoll...
Scénario : Edgar Wright, Joe Cornish, Adam McKay et Paul Rudd
D'après une histoire d'Edgar Wright et Joe Cornish
D'après un comic de Stan Lee, Larry Lieber et Jack Kirby
Producteur : Kevin Feige
Co-producteur : David J. Grant et Brad Winderbaum
Producteur executif : Victoria Alonso, Louis D'Esposito, Alan Fine, Michael Grillo, Stan Lee et Edgar Wright
Producteur associé : Lars P. Winther
Studio : Gary Sanchez Productions, Marvel Studios et Walt Disney Pictures
Musique : Christophe Beck
Lumière : Russell Carpenter
Montage : Dan Lebental et Colby Parker Jr.
Durée : 1h57




Le Pitch : Scott Lang, cambrioleur de haut vol, va devoir apprendre à se comporter en héros et aider son mentor, le Dr Hank Pym, à protéger le secret de son spectaculaire costume d’Ant-Man, afin d’affronter une effroyable menace…




L'Avis : Petit film au sein du MCU (Marvel Cinematique Universe), Ant-man ne se prend pas au sérieux. Revenant à l'humour des comics avec un héros plus petit au propre comme au figuré Ant-man est un petit film sans conséquence. C'est peut-être ce qui fait son charme.
Porté par des acteurs qui n'en font pas des tonnes et Evangeline Lilly ce film ravira un peu tout le monde mais risque d'être oublié très vite.

[Sur écoute] Sons of Apollo - Psychotic symphony (2017)



Premier album de ce qui pourrait apparaître aux premiers abords comme un super-groupe. Jeff Scott Soto, Mike Portnoy... que des pointures. Une aubaine pour une maison de disque mais en fait aux dire des différents protagonistes... pas du tout. Sons of Apollo est bien un groupe conçu par ses acteurs (e(et non par son label).
Mais le tout groove vraiment très bien. Chacun arrivant à mettre sa patte. Et rien que le morceau d'introduction God of the sun, ultra-technique mais pas trop. Et il y a même une petite ballade bien sympathique avec Alive. Franchement un bon album qui nous est livré.


Sons of Apollo :
Jeff Scott Soto : Chant
Derek Sherinian : Claviers
Ron "Bumblefoot" Thal : Guitare
Billy Sheehan : Basse
Mike Portnoy : Batterie


Tracklist :
1. God of the sun (11:12)
2. Coming home (4:23)
3. Signs of the time (6:43)
4. Labyrinth (9:23)
5. Alive (5:06)
6. Lost in Oblivion (4:28)
7. Figaro's whore (1:04)
8. Divine addiction (4:42)
9. Opus maximus (10:39)
Total : 57min40s
Label : InsideOut Music

[Sur écoute] Ozzy Osbourne - Diary of a madman (1981)



Deuxième album solo du prince des ténèbres après son départ de Black Sabbath (dont il reviendra à plusieurs reprises). Ici, nous sommes sur un album tout à sa gloire (la plupart des musiciens autres ne sont même pas crédités).
La voix plaintive d'Ozzy fait des merveilles sur des titres aussi torturés que Diary of a madman. De toute façon, l'homme a (à mon sens) était toujours plus un showman qu'un véritable esthète du chant. Tout ici, transpire la folie et le CD nous laisse entrevoir par la voix du bonhomme l'interprétation de divers personnages, toujours sur la branche entre raison et folie.
Un album essentiel à posséder.




Ozzy Osbourne :
Ozzy Osbourne : Chant
Randy Rhoads : Guitare
Bob Daisley : Basse
Lee Kerslake : Batterie et percussion


Tracklist :
1. Over the mountain (4:31)
2. Flying high again (4:44)
3. You can't kill rock and roll (6:59)
4. Believer (5:16)
5. Little dolls (5:39)
6. Tonight (5:50)
7. S.A.T.O. (4:07)
8. Diary of a madman (6:16)
Producteur : Max Norman, Ozzy Osbourne et Randy Rhoads
Label : Jet, Epic/Legacy

[Sur écoute] Trivium - The Sin and the sentence (2017)



Et de 8 pour Trivium. Et encore un chef d'œuvre.... Trivium nous offre une fois de plus un album varié avec du chant clair, du growl... Passant de la violence pure avec The Sin and the sentence qui ouvre l'album à un groove certain avec Beyond Oblivion... la chanson plus douce The Heart from your hate... qui repasse à du growl mélodique sur l'intro de Betrayer... Il y a de tout sur cet album varié qui ravira les amateurs.
Pas de passage obligé sur cet album où il vous faudra tout écouter.




Trivium :
Matt Heafy : Chant et guitare rythmique
Corey Beaulieu : Guitare et chœurs
Paolo Gregoletto : Basse et chœurs
Alex Bent : Batterie et percussions


Tracklist :
1. The Sin and the sentence (5:49)
2. Beyond Oblivion (5:16)
3. Other worlds (4:49)
4. The Heart from your hate (4:03)
5. Betrayer (5:27)
6. The Wretchedness Inside (5:31)
7. Endless night (3:38)
8. Sever the hand (5:25)
9. Beauty in the sorrow (4:31)
10. The Revanchist (7:17)
11. Thrown into the fire (5:29)
Total : 57min18s
Producteur : Josh Wilbur
Label : Roadrunner records

jeudi 25 janvier 2018

[On a vu] Les Derniers jours du dragon (Da jiao long, Chien Lei, 1974, HK)



Les Derniers jours du dragon
Titre original : Da jiao long
Réalisateur : Chien Lei
Année : 1974
Origine : HK
Avec Michael Wai-Man Chan, Betty Ting Pei, Chin Hu...
Producteur : Hsing-Hua Ku
Studio : Star Sea Motion Picture Company
Durée : 1h30




Le Pitch : Le cruel Kwan est prêt à tout pour récupérer des bijoux qui ont été confiés à Wan et Bruce. Pour arriver à ses fins, il fera tuer Bruce et la fiancée de Wan. Wan, fou de colère et de tristesse, jure de les venger et de tuer un à un les complices de Kwan.


L'Avis : Attention arnaque. Surfant sur la bruceploitation (films avec des simili-Bruce Lee), ce film aura le cran ou l'audace de pousser l'ignominie un cran plus loin en incorporant des images de la vraie cérémonie funéraire du Dragon. On pourrait se targuer que cela reste un document historique mais cela n'excuse pas un scénario plus que confus et une roublardise à toute épreuve (voir même un caractère parfaitement vénal).
Alors on aura du mal à s'intéresser à une intrigue à base de cache-cache de pierres précieuses où la plupart des acteurs ont un charisme d'huitre pas fraiche. (L'actrice féminine s'en sort pas trop mal ceci dit). Mais l'ensemble est tellement fauché et mal filmé qu'on rigole bien.
Parfait pour une soirée nanard.

[Sur écoute] Black Sabbath - Mob rules (1981)



Deuxième album du Sabbath avec Ronnie James Dio au micro (et 10ième du groupe), Mob rules est devenu avec les années un petit classique. J'avoue avoir une préférence pour la période Dio du groupe. La voix est tout de même bien meilleur que celle du Prince of Darkness. Et là aussi pas mal de petits classiques... The Sign of the Southern Cross, The Mob rules, Turn up the night, Voodoo, Falling the edge of the world.... bref, les titres s'enchaînent magnifiquement. (Même si pourquoi E5150... expérimentations?)
Bref, encore un must have. Il est coutumier de dire que Black Sabbath a été le pionnier du heavy metal, ici, nous voyons l'émergence du NWOBHM (New Wave of British Heavy Metal).




Black Sabbath :
Ronnie James Dio : Chant
Tony Iommi : Guitare
Geezer Butler : Basse
Vinny Appice : Batterie


Tracklist :
1. Turn up the night (3:42)
2. Voodoo (4:32)
3. The Sign of the Southern Cross (7:46)
4. E5150 (2:54)
5. The Mob rules (3:14)
6. Country girl (4:02)
7. Slipping away (3:45)
8. Falling the edge of the world (5:02)
9. Over and over (5:28)
Total : 40min25s (version originale)
Producteur : Martin Birch
Studio : Vertigo et Warner Bros.

[Sur écoute] Vuur - In this moment we are free - Cities (2017)



Cette diablesse d'Anneke van Gierbergen reviens dans un projet de groupe. Non, que sa carrière solo bat de l'aile mais qu'elle se sent sûrement mieux au sein d'une formation. Cette formation, c'est donc Vuur (Passion ou feu en hollandais) qui dispose d'une partie des musiciens solo de la belle ainsi que des membres de son précédent autre groupe The Gentle Storm)... Plus metal qu'en solo, elle revient donc à ses premières amours... mais avec une voix à tomber à la renverse.
Bon, d'accord tout n'est pas rose et l'étalage technique de la chanteuse prend vraiment toute la place... laissant en retrait la performance des autres. Et puis surtout, une certaine redondance... (surtout que l'album fait plus d'une heure... c'est beaucoup.)
Si certains titres parviennent à capter l'atmosphère d'une ville... chez certains... c'est hautement subjectif... difficile d'y voir un rapport. Dommage.




Vuur :
Anneke Van Giersbergen : Chant et Guitare rythmique
Jord Otto : Guitare
Ferry Duijsens : Guitare
Johan van Stratum : Basse
Ed Warby : Batterie


Tracklist :
1. My champion - Berlin (7:36)
2. Time - Rotterdam (6:40)
3. The Martyr and the Saint - Beirut (5:34)
4. The Fire - San Francisco (4:46)
5. Freedom - Rio (6:06)
6. Days go by - London (6:30)
7. Sail away - Santiago (6:00)
8. Valley of diamonds - Mexico city (6:24)
9. Your glorious will shine - Helsinki (5:32)
10. Save me - Istanbul (5:04)
11. Reunite! - Paris (4:38)
Total : 1h04min50s
Producteur : Joost van den Broek
Label : Inside out music

[On a vu] Avengers : L'ère d'Ultron (Avengers : Age of Ultron, Joss Whedon, 2015, USA)



Avengers : L'ère d'Ultron
Titre original : Avengers : Age of Ultron
Réalisateur : Joss Whedon
Année : 2015
Origine : USA
Avec Robert Downey Jr., Chris Evans, Mark Ruffalo...
Scénario : Joss Whedon
D'après les comics de Stan Lee et Jack Kirby
D'après les personnages de Joe Simon, Jack Kirby, Jim Starlin, Roy Thomas et John Buscema
Producteur : Kevin Feige
Co-producteur : Mitchell Bell
Producteur executif : Victoria Alonso, Louis D'Esposito, Jon Favreau, Alan Fine, Jeremy Latcham, Stan Lee et Patricia Whitcher
Studios : Marvel Studios et Walt Disney Pictures
Musique : Danny Elfman et Brian Tyler
Lumière : Ben Davis
Montage : Jeffrey Ford et Lisa Lassek
Durée : 2h21




Le Pitch : Alors que Tony Stark tente de relancer un programme de maintien de la paix jusque-là suspendu, les choses tournent mal et les super-héros Iron Man, Captain America, Thor, Hulk, Black Widow et Hawkeye vont devoir à nouveau unir leurs forces pour combattre le plus puissant de leurs adversaires : le terrible Ultron, un être technologique terrifiant qui s’est juré d’éradiquer l’espèce humaine.
Afin d’empêcher celui-ci d’accomplir ses sombres desseins, des alliances inattendues se scellent, les entraînant dans une incroyable aventure et une haletante course contre le temps…




L'Avis : Comme un gâteau trop copieux, le deuxième avenger se pose là. Trop long, séquences d'actions interminables. Nous sommes loin du premier en terme d'homogénéité. Et puis, il y a cette mode d'avoir plusieurs climax rendant le film difficilement supportable (au moins une demi heure de trop).
Sinon, les acteurs font le taf et nous regrettons que la veuve noire (Scarlett Johanson), n'ait pas un film pour elle (en tout cas pas encore).
Et le pire, c'est que cela n'augure rien de bon pour les suivants (oui, tout les personnages ne sont pas encore présents).

[Sur écoute] Helloween - Gambling with the devil (2007)



12ième album studio pour Helloween et il faut dire que ceux-ci remontent la pente après un Keeper of the Seven Keys 3 qui était parfaitement dispensable. Là, les teutons font ce qu'ils ont toujours fait de mieux, du speed metal virant parfois au thrash mais... avec une grosse dose de mélodie.
Alors la cavalcade commence pour ne plus vous lâcher jusqu'au 3/4 de l'album... En fait Fallen to pieces... qui ralentit l'allure.
L'habituelle pièce humoristique est ici dévolu à Can do it (mais elle n'atteint pas les sommets de la grande période).
Un album sans fioriture comme Helloween sait si bien les faire.



Helloween :
Andi Deris : Chant
Michael Weikath : Guitare
Sascha Gerstner : Guitare
Markus Grosskopf : Basse
Dani Löble : Batterie

Tracklist :
1. Crack the riddle (Intro) (0:52)
2. Kill it (4:13)
3. The Saints (7:06)
4. As long as I fall (3:41)
5. Paint a new world (4:27)
6. Final fortune (4:46)
7. The Bells of the 7 hells (5:22)
8. Fallen to pieces (5:52)
9. I.M.E. (3:46)
10. Can do it (4:30)
11. Dreambound (5:57)
12. Heaven tells no lies (6:56)
13. We unite (Bonus) (4:34)
Total : 57min 33s
Producteur : Charlie Bauerfeind
Label : SPV GmbH et Victor Entertainment

mardi 23 janvier 2018

[On a vu] Subspecies (Ted Nicolaou, 1991, USA)


Subspecies
Réalisateur : Ted Nicolaou
Année : 1991
Origine : USA
Avec Angus Scrimm, Anders Hove, Irina Movila...
Scénario : Jackson Barr et David Pabian
Idée : Charles Band
Producteur : Ion Ionescu
Producteur executif : Charles Band
Studio : Full Moon Entertainment
Musique : Stuart Brotman, Richard Kosinski, William Levine, Michael Portis et John Zeretzke
Lumière : Vlad Paunescu
Montage : Bert Glatstein et William Young
Durée : 1h30


Le Pitch : Le vampire Radu Vladislav retourne dans sa ville natale Prejnar après des années d'exil. Il dérobe la précieuse Blood Stone - d'où sourd le sang même des saints - à son propre père avant de le tuer. Pendant ce temps un groupe d'étudiantes s'intéresse à la culture roumaine, ce qui les mènera vers Radu.


L'Avis :  Petite série B mais grande conséquence. Pas moins de 4 films et un spin-off pour cette saga Subspecies qui commença avec ce petit film sans grande prétention, réalisé par un mercenaire du bis. Tournage en Roumanie avec la population locale, pas beaucoup d'extérieur (le principal de l'action se passe dans et aux alentours d'un château). D'ailleurs parfois on a du mal à imaginer la topographie des lieux. Est-ce voulu? un tunnel qui renvoie dans un château... un dortoir donnant sur les écuries... attention, nous sommes à deux doigts du nanar. (et nous y plongeons par certains aspects.)
Mais le tout est emballé avec un tel entrain, comme le petit film d'horreur modeste qu'il est en fin de compte, qu'il est difficile de reprocher les quelques carences d'un scénario et d'un filmage sans moyen.

[Sur écoute] Jag panzer - The Deviant chord


Jag Panzer, c'est un peu l'outsider de toujours. En activité depuis 1984, celui-ci continue de nos jours à nous fourbir des albums de Heavy metal comme il faut. Avec une petite touche Iron Maiden sur Salacious Behaviour, l'album même si il n'est clairement pas indispensable aligne quand même de belles compos. Black list en est l'exemple. La surprise de l'album se cache au sein de Foggy Dew, une reprise d'un chant irlandais qui détonne bien mais dans le bon sens du terme.
Malheureusement, ce n'est pas grâce à cet album que Jag Panzer parviendra à conquérir un nouveau public. Et pourtant... c'est pas faute de savoir envoyer la purée (ou le paté, c'est selon).


Jag Panzer :
Harry Conklin : Chant
Joey Tafolla : Guitare
John Tetley : Basse
Mark Briody : Guitare
Rikard Stjernquist : Batterie

Tracklist :
1. Born of the flame (4:00)
2. Far beyond all fear (3:49)
3. The Deviant chord (5:37)
4. Blacklist (4:19)
5. Foggy dew (3:20)
6. Divine intervention (3:30)
7. Long awaited kiss (6:16)
8. Salacious Behaviour (4:07)
9. Fire of our spirit (4:37)
10. Dare (5:17)
Total : 44min52s
Label : Steamhammer

[On a vu] Les Gardiens de la galaxie (Guardians of the galaxy, James Gunn, 2014, USA/GB)


Les Gardiens de la galaxie
Titre original : Guardians of the galaxy
Réalisateur : James Gunn
Année : 2014
Origine : GB et USA
Avec Chris Pratt, Vin Diesel, Bradley Cooper...
Scénario : James Gunn et Nicole Perlman
D'après le comic de Dan Abnett et Andy Lanning
D'après des personnages de Bill Mantlo, Keith Giffen, Jim Starlin, Steve Englehart, Steve Gan, Steve Gerber, Val Mayerik, Gene Colan, Arnold Drake, Jack Kirby, Stan Lee, Roger Stern, Marv Wolfman, Larry Lieber, Don Heck, John Buscema, Dick Ayers et Mike Friedrich
Producteur : Kevin Feige
Co-producteur : David J. Grant et Jonathan Schwartz
Producteur executif : Victoria Alonso, Louis D'Esposito, Alan Fine, Nikolas Korda, Jeremy Latcham et Stan Lee
Producteur associé : Jamie Christopher
Studios : Marvel Studios, Marvel Enterprises et Moving Picture Company (MPC)
Musique : Tyler Bates
Lumière : Ben Davis
Montage : Fred Raskin, Hughes Winborne et Craig Wood
Durée : 2h01


Le Pitch : Peter Quill est un aventurier traqué par tous les chasseurs de primes pour avoir volé un mystérieux globe convoité par le puissant Ronan, dont les agissements menacent l’univers tout entier. Lorsqu’il découvre le véritable pouvoir de ce globe et la menace qui pèse sur la galaxie, il conclut une alliance fragile avec quatre aliens disparates : Rocket, un raton laveur fin tireur, Groot, un humanoïde semblable à un arbre, l’énigmatique et mortelle Gamora, et Drax le Destructeur, qui ne rêve que de vengeance. En les ralliant à sa cause, il les convainc de livrer un ultime combat aussi désespéré soit-il pour sauver ce qui peut encore l’être …


L'Avis : Fun et totalement décomplexé... Les Gardiens de la Galaxie fut un coup de pied dans le postérieur de la galaxie marvel. Mixant intelligemment humour et action, le tout sur une BO du tonnerre. Mais nous n'en attendions pas moins d'un membre éminent de l'écurie Troma ayant fait ses armes sur le scénario de Tromeo et Juliette et ayant livré la série B Horribilis, petite pépite de série B bien jouissive.
Et puis, il y a un casting au top... de Chris Pratt à Zoe Saldana en passant par Glenn Close et Karen Gillan... bref, un Marvel un peu à part mais jouissif.

[Sur écoute] Helloween - Keeper of the seven keys : The Legacy

 


Onzième album studio des allemand d'Helloween, et là... je ne sais pas trop comment me positionner. D'un côté, l'idée de faire une suite au Keeper of the seven keys a tout de l'idée à la con (et surtout de vouloir capitaliser sur le diptyque le plus vendeur du groupe)... bref, une affaire de pépète. Mais, d'un autre côté au vu du résultat.. mouais... pourquoi pas.
Bon alors, nous sommes clairement pas sur un bon album mais comme dit sur un précédent article d'un album précédent du groupe, cela ne peut être foncièrement mauvais. Seul problème, si c'est pas mauvais, c'est un peu chiant et redondant.... en fait, dès le deuxième CD, à partir d'Occasion avenue (qui au passage repompe des extraits des deux albums de Keeper of the Seven keys, le morceau-titre mais aussi Halloween et Eagle fly free... c'est donc l'occasion qui fait le larron).
Passons donc sur ce triste album dont on ne conseillera que l'intro "The king for a 1000 years" et un Mrs God sympathique... oui, pas grand chose donc.


Helloween :
Andi Deris : Chant
Michael Weikath : Guitare
Sascha Gerstner : Guitare
Markus Grosskopf : Basse
Dani Löble : Batterie

Tracklist :
1. The king for a 1000 years (13:54)
2. The invisible man (7:17)
3. Born on judgment day (6:14)
4. Pleasure drone (4:08)
5. Mrs. God (2:55)
6. Silent rain (4:21)
7. Occasion avenue (11:04)
8. Light the universe (feat. Candice Night) (5:00)
9. Do you know what you are fighting for (4:45)
10. Come alive (3:20)
11. The Shade in the shadow (3:24)
12. Get it up (4:13)
13. My life for one more day (6:51)
14. Revolution (bonus) (5:06)
Total : 1h17min41s
Producteur : Charlie Bauerfeind
Label : SPV Gmbh et Victor Entertainment

lundi 22 janvier 2018

[On a vu] Provoked (Provoked : A true story, Jag Mundhra, 2006, GB/Inde)


Provoked
Titre original : Provoked : A True story
Réalisateur : Jag Mundhra
Année : 2006
Origine : GB et Inde
Avec Aishwarya Rai Bachchan, Miranda Richardson, Naveen Andrews...
Scénario : Carl Austin et Rahila Gupta
Producteur : Sunanda Murali Manohar
Producteur executif : Nigel Glynn-Davies
Studios : Raj Film Productions
Musique : A.R. Rahman
Lumière : Madhu Ambat
Montage : Sanjeev Mirajkar et Jag Mundhra
Durée : 1h53



Le pitch : Après la mort de son mari dans un incendie qu'elle a provoqué, une femme est accusée de la mort de celui-ci. Mais le mari était violent. Une association de défense des violences conjuguales vient à sa rescousse pour prouver que les violences de l'homme sur sa femme l'ont "provoqué".


L'Avis : Film contre les violences faites aux femmes (et donc d'actualité) Provoked manque de peu sa cible. La faute en est à un scénario pas forcément béton, qui peine à faire subsister ses personnages.
Rare sont les films judiciaires (car c'en est un) à pouvoir tenir sur la durée (et ici, nous sommes au-delà de l'heure cinquante.)
Et même Aishwarya Rai dans le rôle de la femme battue ne parviens à faire subsister ce film, c'est dire....

[Sur écoute] Act of defiance - Old scars, new wounds


Avec deux anciens de Megadeth à la barre (Shawn Drover et Chris Broderick), Act of defiance avais tout pour plaire sauf que... bah voilà. Après une deux titres vraiment bon... patatras tout s'effondre avec Overzxposure et The Talisman... Monotone et franchement pas innovant. Certes, la niak reviens après sur Lullaby of vengeance mais quelque chose a cassé définitivement.
L'impression que le groupe est passé en mode automatique et jusqu'à Rise of rebellion, dernier titre de l'album (pas foncièrement mauvais d'ailleurs avec son ambiance sombre et sa voix claire), rien ne surnage réellement.
Dommage, dommage, dommage...


Act of defiance :
Shawn Drover : Batterie
Chris Broderick : Guitare
Matthew Bachand : Basse
Henry Derek Bonner : Chant

Tracklist :
1. M.I.A. (4:10)
2. Molten core (3:28)
3. Overexposure (4:19)
4. The Talisman (5:53)
5. Lullaby of vengeance (4:11)
6. Circle of ashes (3:50)
7. Reborn (3:55)
8. Conspiracy of the Gods (4:46)
9. Another killing spree (4:34)
10. Broken dialect (4:44)
11. Rise of rebellion (5:08)
Total : 48 min
Label : Metal blade

[On a vu] Captain America : Le Soldat de l'hiver (Captain America : The Winter soldier, Anthony Russo et Joe Russo, 2014, USA)


Captain America : Le Soldat de l'hiver
Titre original : Captain America : The Winter soldier
Réalisateurs : Anthony Russo et Joe Russo
Année : 2014
Origine : USA
Avec Chris Evans, Samuel L. Jackson, Scarlett Johansson...
Scénario : Christopher Markus et Stephen McFeely
D'après le comic de Joe Simon et Jack Kirby
D'après une histoire d'Ed Brubaker, Steve Epting et Michael Lark
D'après des personnages de Gene Colan, Jack Kirby, Stan Lee, Brian Michael Bendis, Don Heck, Kieron Dwyer, Don Rico, Bob Harras, Dick Ayers, David Finch, Mark Gruenwald, Paul Neary et Howard Purcell
Producteur : Kevin Feige
Co-producteur : Nate Moore
Producteur executif : Victoria Alonso, Louis D'Esposito, Alan Fine, Michael Grillo et Stan Lee
Producteur associé : Mitchell Bell et Lars P. Winther
Studios : Marvel Entertainment, Marvel Studios et Walt Disney Pictures
Musique : Henry Jackman
Lumière : Trent Opaloch
Montage : Jeffrey Ford et Matthew Schmidt
Durée : 2h16


Le Pitch : Après les événements cataclysmiques de New York de The Avengers, Steve Rogers aka Captain America vit tranquillement à Washington, D.C. et essaye de s'adapter au monde moderne. Mais quand un collègue du S.H.I.E.L.D. est attaqué, Steve se retrouve impliqué dans un réseau d'intrigues qui met le monde en danger. S'associant à Black Widow, Captain America lutte pour dénoncer une conspiration grandissante, tout en repoussant des tueurs professionnels envoyés pour le faire taire. Quand l'étendue du plan maléfique est révélée, Captain America et Black Widow sollicite l'aide d'un nouvel allié, le Faucon. Cependant, ils se retrouvent bientôt face à un inattendu et redoutable ennemi - le Soldat de l'Hiver.


L'Avis : Les films Captain America ont toujours été un peu à part dans l'univers Marvel. Rares à avoir une perspective et un point de vue. Celui là, le deuxième ne fait pas exceptions. Partant sur un thriller politique des années 70 (avec en prime Robert Redfort, le symbole du genre), l'atmosphère paranoïaque est parfaitement retranscrite par un filmage élégant.
Le haut du panier de l'univers Marvel.

[Sur écoute] Helloween - Rabbit don't come easy

 
10ième album studio des allemands d'Helloween. Album moyen dans la carrière du groupe de Power metal. Alors certes, un album moyen d'Helloween, c'est toujours un meilleur album que les 3/4 de la production actuelle donc ne boudons pas notre plaisir.
Rempli de bonnes ballades "Don't stop being crazy", ce Ravvit don't come easy faisant référence à la difficulté réelle du tour du magicien, histoire de nous dire que la sauce a du mal à prendre. Surtout qu'Helloween a perdu son batteur... encore. Mark Gross a en effet été viré en cours d'enregistrement. La patte de Mikkey Dey (Motörhead) donne du son en studio sur la plupart des morceaux (et ça s'entend).
Peu d'aspérité ni de grand classique, seul "Just a little sign" sortira en single... histoire de.
Bref, laissez quand même traînez une oreille. Vous serez surpris.


Helloween :
Andi Deris : Chant
Michael Weikath : Guitare
Sascha Gerstner : Guitare
Markus Grosskopf : Basse

Tracklist :
1. Just a little sign (4:26)
2. Open your life (4:30)
3. The Tune (5:35)
4. Never be a star (4:10)
5. Liar (4:55)
6. Sun 4 the world (3:55)
7. Don't stop being crazy (4:21)
8. Do you feel good (4:22)
9. Hell was made in heaven (5:33)
10. Back against the wall (5:44)
11. Listen to the flies (4:52)
12. Nothing to say (8:27)
13. Far away (Bonus track) (4:18)
Total : 1h01min13s
Producteur : Charlie Bauerfeind
Label : Nuclear Blast et Victor Entertainment

dimanche 21 janvier 2018

[Théatre] Les Faux British (Théâtre St Georges)


Une fois n'est pas coutume,  c'est de Théâtre que nous allons parler (oui, comme ça, parce que j'ai envie...)
Alors les faux british... c'est une troupe de théâtre qui joue une troupe de théâtre amateur jouant une pièce policière d'un auteur pas connu. Tout de suite, vous la sentez le méta-texte? Car nous sommes dans une grosse pièce de boulevard dans le sens noble du terme.
Ici, le décor est un personnage à part entière, c'est la pièce en tant qu’œuvre et en tant que lieu qui va donner du fil à retordre à une bande de branquignole du dimanche. Fier de présenter leurs pièces comme un enfant serait fier de la pièce de fin d'année.
L'humour est souvent une question de rythme et c'est là que les Faux-British parviennent un vrai tour de force car le timing est parfait, rendant impeccable les erreurs et errements de la troupe.
Bien sûr on vous conseille chaleureusement cette pièce.

Les Faux-British :
Gwen Aduh, Sandra Valentin Christophe de Mareuil, Dominique Bastien, Henri Costa, Herrade Von Meier, Jean-Pascal Abribat, Lula Hugot, Michel Cremades, Michel Scotto Di Carlo, Yann de Monterno, Jean-Pascal Abribat, Yann Papin, Virginie Gritten
 
Mise en scène :
Gwen Aduh

samedi 20 janvier 2018

[Event] Kill the Kult : Made in England (Mardi 30 janvier 2018 à 20h30)


Oyé amis du Kult,
on se retrouve le 30 janvier pour un KTK qui nous verra survoler les films de la perfide Albion. L'humour british sera de mise ainsi que le swinging London. Hugh Grant, la reine Elisabeth et tout les sujets de la couronne britannique seront présents (va falloir faire de la place)

Le tout forcément dans une ambiance de folie. Et une bouteille de champagne à gagner pour la meilleure équipe.

On a hâte,
Kultement votre,
Matthieu



Octopussy Bar
22 rue de la Jonquière
75017 PARIS

Métro : Guy Moquet

lundi 15 janvier 2018

[Sur écoute] National suicide - Massacre elite



Troisième volet des italiens de National suicide. Pourvoyeur d'un trash plutôt bien troussé, l'ensemble de l'album n'est pas d'une originalité confondante mais certains rythmes ont le mérite d'envoyer bien comme il faut. Massacre Elite, le morceau titre par exemple,  envoi un bon flow et nous fait penser à Overkill.
Assurément une valeur montante. Perso, je pense que dans le registre du trash, il va falloir compter sur eux.




National suicide :
Ivan "Saxon" Andreolli : Basse
Ema Revello : Batterie
Stefano Mini : Chant
Tiziano "Tiz" Campagna : Guitare
Daniele Valle : Guitare


Tracklist :
1. Death roll (3:32)
2. I'm not a zombie (anymore) (4:33)
3. Massacre elite (3:58)
4. Old, white an' italian (4:03)
5. Pisshead (3:39)
6. Trouble ahead (3:48)
7. Take me to the dive bar (3:51)
8. Unfit for the army (3:20)
9. What d'you mean by metal (4:16)
Total : 35 min
Studio : Scarlet records

[On a vu] Le Justicier contre la reine des crocodiles/Koral le justicier (Golok setan, Ratno Timoer, 1984, Indonésie)



Le Justicier contre la reine des crocodiles
Titre alternatif : Koral le justicier
Titre original : Golok setan
Réalisateur : Ratno Timoer
Année : 1984
Origine : Indonésie
Avec Barry Prima, Gudi Sintara, Advent Bangun...
Scénario : Imam Tantowi
Producteur : Gope T. Samtani
Studio : Rapi Films
Musique : Gatot Sudarto
Lumière : Herman Susilo
Montage : Muksin E. Hamzah
Durée : 1h30




Le Pitch : Koral (que nous allons appeler le justicier) parcourt le pays pour aider la veuve et l'orphelin. Il se retrouve confronté à la Reine des crocodiles, une magicienne, un peu libidineuse sur les bords qui hypnotise les gens du village pour son plaisir personnel. Elle est à la recherche d'une épée magique qui... on ne sait pas trop mais cela doit être mauvais si elle tombe en sa possession. Du coup, Koral devra aller la chercher.




L'Avis : Film étrange, au rythme assez lent parsemé de moment de folies. Barry Prima, star local, y joue comme à son habitude comme une quiche et le réalisateur dérape de temps en temps sur la molette du zoom.
Nous sommes clairement dans le registre du film d'exploitation, où les filles dévoilent des corps lascifs et où l'érotomètre est affolé par cette fameuse reine des crocodiles. Emancipation? Que nenni! Le but reste toujours d'érotiser le corps féminin et nous restons dans les rêves libidineux masculins rêvant d'une femme forte.

vendredi 12 janvier 2018

[On a vu] Thor : Le Monde des ténèbres (Thor : The Dark world, Alan Taylor, 2013, USA)



Thor : Le Monde des ténèbres
Titre original : Thor : The Dark world
Réalisateur : Alan Taylor
Année : 2013
Origine : USA
Avec Chris Hemsworth, Nathalie Portman, Tom Hiddleston...
Scénario : Christopher Yost, Christopher Markus et Stephen McFeely
Histoire : Don Payne et Robert Rodat
D'après le comic de Stan Lee, Larry Lieber et Jack Kirby
Personnage de Malekith créé par Walter Simonson
Producteur : Kenneth Branagh et Kevin Feige
Producteur exécutif : Victoria Alonso, Louis D'Esposito, Alan Fine, Nigel Gostelow, Craig Kyle et Stan Lee
Producteur associé : Jamie Christopher et David J. Grant
Studios : Marvel Studios et Walt Disney Pictures
Musique : Brian Tyler
Lumière : Kramer Morgenthau
Montage : Dan Lebental et Wyatt Smith
Durée : 1h52




Le Pitch : Après avoir ramené la paix dans les 9 royaumes, Thor devra aider Jane Foster possédée par l'éther. Le réveil de l'éther réveille aussi Malekith, un autre grand méchant, qui va tout faire pour reconquérir Asgard.




L'Avis : Bon, on va pas vous mentir, si vous aimez les films Marvel, celui-ci va vous plaire. Une dose d'action, une dose d'humour, des effets spéciaux d'un autre monde... bref, le cahier des charges est bien présent. C'est peut-être le problème, tant on a vraiment l'impression de suivre un cahier des charges.
Là, où le premier Thor s'était planté magistralement sous une imagerie dégueulasse, on y parvenait encore à y déceler le gout de son réalisateur Kenneth Branagh pour le théâtre et les épopées Shakespearienne, ici, Alan Taylor, fait clairement son taff, biberonné aux séries télévisées (il a réalisé quelques épisodes de Games of Throne), son passage sur grand écran s'apparente à l'adoubement d'un yes man....
Bref, passons.

jeudi 11 janvier 2018

[Sur écoute] Eldamar - A Dark forgotten past



Deuxième album complet d'Eldamar... évocation de contrée proche de Tolkien. Ce one-man band abuse un peu trop de voix chantante elfique (?) à base de aaaaaahhhhaaaaaahhhhhaaaaaahhhh mais le tout parvient en faisant abstraction de ce petit désagrément à nous faire envoler. Bon, après on aura vite fait d'oublier mais ces 52 minutes n'étant pas franchement déplaisante (ni vraiment captivante d'ailleurs) se laisse écouter tranquillement en bruit de fond.




Tracklist :
1. Return of darkness (8:43)
2. Another journey begins (7:34)
3. In search for new wisdom (9:16)
4. A secret by the branches (5:15)
5. Ancient sorcery (8:32)
6. The Passing (4:02)
7. New understanding (8:38)
Total : 52 min
Autoproduction

[Sur écoute] Grai - Ashes



Album totalement auto-produit par les russes de Grai (je ne ferais pas l'affront de tenter une retranscription en cyrillique.) Grai signifiant dans sa langue d'origine "pleurs d'oiseaux" (merci internet), et nous conte l'histoire glorieuse et la fierté du peuple russe. Le tout en entremêlant avec des instruments folkloriques du plus bel effet. Avec surtout des mélanges intéressants avec la flute surtout sur Haze et Song of dead water.
Tout l'album nous fait ainsi voyagé sur des contrés à la fois sauvages et dignes d'un album de black metal pour sa profonde tristesse (et détresse).
Bref, un bien bel album.




Grai :
Irina Zybina : Chant
Aliia "Leta" : Flute, Enregistreur et Cornemuse
Ilnur : Batterie
Yurii Bedusenko : Basse, growl et guimbarde
Viktor Buznaev : Guitares et growl
Ruzweld : Guitares


Tracklist :
1. Haze (intro) (2:04)
2. Song of dead water (5:22)
3. A Water well (4:43)
4. Darkness with me (4:02)
5. Donya (4:43)
6. Tread of winter (4:45)
7. Shade (6:43)
8. Ashes (4:08)
9. Fortress (5:56)
10. Farewell (3:46)
11. ...pir threontai (Rotting Christ cover) (3:54)
Total : 50 min
Auto-édition

[On a vu] Journal intime d'un vampire (Vampire journals, Ted Nicolaou, 1997, Roumanie/USA)



Journal intime d'un vampire
Titre original : Vampire journals
Réalisateur : Ted Nicolaou
Année : 1997
Origine : Roumanie et USA
Avec Jonathon Morris, David Gunn, Kirsten Cerre....
Scénario : Ted Nicolaou
Producteur : Oana Paunescu et Vlad Paunescu
Co-producteur : Kirk Edward Hansen
Producteur executif : Charles Band
Studios : Castel Film Romania, Full Moon Entertainment et Full Moon studios
Musique : Richard Kosinski
Lumière : Adolfo Bartoli
Montage : Gregory Sanders
Durée : 1h22




Le Pitch : Un vampire revanchard traque un autre, vampire, responsable de la mort de sa bien-aimée. Dans le même temps, il s'éprend de la futur proie de celui-ci.




L'Avis : Film se déroulant dans l'univers des Susbpecies, un univers où les vampires vivent en société secrète et où il existe une hiérarchie de ceux-ci.
Comme de coutume avec Ted Nicolaou et Full Moon, nous sommes dans le registre du très petit budget et donc tout est à l'avenant. Et même si Nicolaou cherche à avoir une certaine emphase, cela ne marche pas vraiment. Mais Est-ce vraiment un bon film que nous cherchons en enfournant la galette dans le lecteur? Pas vraiment. Ici, l'histoire frôle le romantisme de la collection Harlequin (et ce n'est pas les filtres sur la caméra qui diront le contraire).
Un petit téléfilm du dimanche après-midi