samedi 12 mars 2016

[On a vu] When black birds fly (Jimmy ScreamerClauz, 2016)




L'histoire : Dans une dimension "paradisiaque", où la population est séparée d'une entité malfaisante par un grand mur, un homme et sa femme ont l'autorisation d'élevé un enfant sauf que la tentation est grande d'aller de l'autre côté.

 

Trip sous LSD, When Black birds fly a le "mérite" d'avoir été écrit, produit et animé par un seul homme. Alors comment appréhender cette "oeuvre" réellement autre car sous des dehors pas forcément attirant (voir même qui pique un peu les yeux), c'est face à un réel univers et une réel vision artistique que nous avons affaire.
Alors que vaux "When Black birds fly"? Bah, la réponse n'est pas simple tant elle va dépendre du spectateur. A titre personnel, l'auteur de ces lignes à été hautement touché par une oeuvre parlant finalement essentiellement de sexualité, de jalousie, de dictature dans une farandole très lewis Burtonnienne. Car en allant dans l'autre monde, c'est la sexualité que l'on découvre, une sexualité pervertie à la fois par elle-même et à la fois par le besoin d'appropriation de l'être aimé.
When Black birds fly est plus qu'un film.... c'est une expérience qui se vit si possible dans une salle.

Vu au Sadique Master festival 2016


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